Vu qu’au niveau boulot ça avance mais y’a rien de très croustillant à raconter, je vais vous parler un peu des choses qui diffèrent de la France :
-Les travaux publics : sans reparler de l’état assez critique des routes, il faut savoir qu’ici l’entretien des bas côtés se fait à la main. Et même à la faux. Après la coupe « manuelle », les ouvriers ramassent l’herbe avec des fourches. Ca fait bizarre au début mais ici tout est fait pour que tout le monde ait un emploi.
-En parlant d’emploi, le gouvernement kazakh impose des quotas de tonnage aux mines. Le but n’étant pas d’avoir une quantité de métaux à la sortie mais plutôt qu’il y ait toujours du boulot pour tout le monde. Si les mines sont en dessous des quotas, elles écopent d’amendes.
-Pour la nourriture, je vous avais parlé du fromage frais et bien ici, les crêpes (qui se mangent avec un peu de crème fraîche), la crème fraîche et le fenouil sont très présents dans l’alimentation. Et à mon grand désarroi surtout le fenouil qui est haché est soupoudré sur les soupes et les salades. Sauf qu’un repas kazakhe est toujours accompagné de soupe ou de salade alors il m’a fallu apprendre à dire : « sans fenouil s’il vous plaît ».
-Dernière anecdote, on a découvert que les arbres autour de l’hôtel et de notre cantin
-Pour ceux qui suivent le blog de Patou (http://www.patouauqatar.blogspot.com/), vous savez qu’au Qatar la construction des buildings se fait à vitesse grand V. Et ben ici c’est pas le Qatar… Depuis la fin de l’union soviétique, toutes les constructions ont été mises en Stand-by et j’ai trouvé un bâtiment qui illustre très bien cela…
tu es très jolie sur la photo!
RépondreSupprimerc'est bien tu as l'air d'apprendre plein de choses sur la culture du pays, et pas seulement dans le domaine de ton stage!
tu as appris des mots kazak? ou russes?
bisous